Ce protocole d'accord, une fois signé, consoliderait l'accord de restructuration de 5,4 milliards de dollars de prêts avec ses créanciers officiels, dont la Chine et la France, conclu en janvier.
La restructuration est une étape importante dans la quête du Ghana pour l'allègement de sa dette, alors qu'il s'efforce de sortir de la pire crise économique depuis une génération, et devrait débloquer d'autres tranches de son programme de 3 milliards de dollars avec le FMI.
S'exprimant en marge des réunions de printemps du FMI et de la Banque mondiale à Washington, Mohammed Amin Adam a également déclaré qu'il était convaincu que le conseil d'administration du Fonds monétaire international approuverait en juin la révision de l'accord conclu avec les services du FMI.
