Ce montant a progressé de 9% sur un an en janvier, après +9,4% en décembre.

La valeur résiduelle de ces créances, qui prend en compte les provisions pour dépréciation constituées par les banques, a en revanche baissé à 83,61 milliards d'euros en janvier contre 88,95 milliards d'euros en décembre, ce qui reflète des provisions en hausse à la fin de l'année dernière.

Ces créances douteuses se sont accumulées durant une période de récession qui s'est étalée jusqu'à la fin 2014, pesant sur le bilan des banques et réprimant une activité de crédit qui serait bien utile pour étayer une reprise économique fragile.

(Valentina Za; Patrick Vignal pour le service français, édité par Wilfrid Exbrayat)