Il a estimé que l'on continuerait à faire courir des risques insoutenables à l'économie, à encourager la spéculation, à sacrifier le long terme, si l'on ne changeait pas la réglementation bancaire, les règles prudentielles et les règles comptables, a déclaré le président français.

Il a également souhaité une stabilisation des cours des matières premières, condition selon lui pour vaincre la faim dans le monde.

Emmanuel Jarry, édité par Yves Clarisse