Le congrès est marqué par l'absence remarquée de Kirill. Il devait y assister mais s'est ensuite désisté.

L'Église orthodoxe russe a envoyé une délégation.

François a également déclaré que si la violence au nom de Dieu n'était jamais justifiée, les "virus" de la haine et du terrorisme ne seraient pas éradiqués sans avoir d'abord éradiqué l'injustice et la pauvreté.