Les examinateurs de la SEC ont déclaré que certains courtiers n'avaient pas consacré suffisamment de ressources, notamment en personnel, à leur conformité en matière de lutte contre le blanchiment d'argent, ce qui a nui à leur capacité à mettre en place des procédures de prévention, comme l'exige la législation américaine, selon un avis de l'agence publié cette semaine. Ces entreprises sont tenues de signaler les transactions suspectes et de faire preuve de diligence à l'égard de leurs clients.

Les régulateurs ont constaté que certains courtiers n'avaient pas testé leurs programmes de lutte contre le blanchiment d'argent en temps voulu ou qu'ils n'avaient pas procédé à des tests complets de ces politiques, a indiqué la SEC.

La SEC, qui n'a nommé aucune entreprise dans son avis, a également constaté que certaines entreprises n'avaient pas mis à jour leurs programmes en fonction des nouvelles réglementations.