"Nous nous ajustons à la nouvelle réalité plutôt mais ne changeons pas de trajectoire ; nous ne voyons pas actuellement de signes de récession", a-t-il dit au journal italien.

Même s'il faudra plus de temps pour que l'inflation revienne vers l'objectif de la BCE de près de 2%, il n'y a nul besoin de recommencer un programme d'achat d'obligations, aussi appelé assouplissement quantitatif, a ajouté Benoît Coeuré.

(Balazs Koranyi, Véronique Tison pour le service français, édité par Blandine Hénault)