La proposition doit maintenant être adoptée par le Parlement européen et le Conseil dans le cadre d'une procédure accélérée, selon un communiqué de la Commission.

La commissaire européenne à la santé, Stella Kyriakides, a déposé la proposition le mois dernier, indiquant que les difficultés de mise en œuvre de la loi menaçaient l'approvisionnement en dispositifs critiques, tels que les cathéters utilisés pour les interventions chirurgicales sur les nouveau-nés souffrant de problèmes cardiaques.

Reuters a rapporté le mois dernier que de nombreuses entreprises retiraient des dispositifs du marché de l'UE, ou avaient cessé de les fabriquer en raison du coût que représente la mise en conformité avec les règles.