Le risque de crise des changes subsistera lors de la première partie de 2014, avertit La Française AM
Il exclut également, d'ici là, un recours direct au MES (mécanisme européen de stabilité).
Le gérant continue de penser que le risque de crise des changes (dernier exemple en date, le Venezuela) et son impact sur les valeurs liées aux émergents ne seront pas encore évacués sur la première partie de 2014, en raison principalement des déséquilibres des balances courantes, et qu'il convient donc de continuer de privilégier début 2014 les modèles de croissance plus domestique.
Même si La Française AM rappelle que la croissance aux Etats-Unis semble plus visible qu'en Europe (+1% avec une inflation modérée), le différentiel de valorisation et de performance joue en faveur de cette dernière, malgré le rebond ambitieux attendu de 13% des bénéfices sur 2014, l'effet de base étant positif (baisse de 4,9% des résultats en 2013 vs +6,1% aux Etats-Unis).
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