Les obligations et les actions sont proches des niveaux de clôture de juin, les taux américains de 10 ans étant revenus à 3 %. Les banques centrales sont redevenues plus restrictives dans leurs discours compte tenu des risques d'inflation persistants, provoquant une rechute des actifs risqués par rapport aux sommets de mi-août, commente Ostrum AM dans MyStratWeekly. Le crédit s'est resserré en raison des reventes de positions de couverture en juillet, mais les obligations d'entreprises se réécartaient finalement en août.

Enfin, la situation politique pèse lourd dans l'appréciation des risques au Royaume-Uni et en Italie, observe le gérant.