Les entreprises occidentales, de McDonald's et Starbucks à la Deutsche Bank et Shell, ont pris du recul par rapport à la Russie, sous la pression de leurs clients et de leurs gouvernements, pour infliger un prix économique à Moscou pour ses actions en Ukraine.

La Russie qualifie ses actions en Ukraine d'"opération spéciale" qui, selon elle, ne vise pas à occuper un territoire mais à détruire les capacités militaires de son voisin du sud et à capturer ce qu'elle considère comme de dangereux nationalistes.

Les autorités de la ville de Moscou ont également doublé les fonds totaux du programme de soutien pour les porter à 1 milliard de roubles, ont-elles déclaré sur les médias sociaux, ajoutant que 17 entreprises, dont la chaîne de crêpes russe Teremok, ont demandé les fonds pour des projets dans la ville de 12,7 millions.

Miratorg, le premier producteur de viande de Russie qui gère également ses propres hamburgers, a également soumis une demande de financement, espérant que cela lui permettrait d'ouvrir 30 nouveaux sites ou plus, en plus des 15 ouvertures initialement prévues pour cette année, a déclaré une porte-parole à Reuters.

(1 $ = 79,2000 roubles)