Les gérants de Nordea en sont convaincus : les obligations des pays émergents méritent d’intégrer les portefeuilles des investisseurs de façon structurelle ! D'abord, ces actifs bénéficient de la stabilisation des fondamentaux macroéconomiques des pays émetteurs par rapport à l’année dernière. Ensuite, ces marchés profitent aussi à la volonté des investisseurs de capter des rendements en dehors des marchés développés, où les taux d’intérêt sont, pour bon nombre d’entre eux, au plancher.

Troisième avantage, "les obligations des marchés émergents affichent des vertus de diversification et de décorrélation. Cela justifie d'intégrer structurellement cette classe d'actifs dans le cadre d'un portefeuille équilibré et diversifié, via des positions minimales mais durables", affirme Marc Olivier, Directeur général France de Nordea.

Enfin, si la perspective d'une hausse des taux américains d'ici la fin de l'année peut préoccuper les investisseurs, David Bessey, directeur des investissements Dette Emergente de PGIM et gestionnaire des fonds Nordea 1 – Emerging Market Bond Fund et Nordea 1 – Emerging Market Blend Bond Fund, "la hausse des taux de la Fed, probablement en décembre, sera indolore pour les taux d'intérêt des marchés émergents".