Le ministre a ajouté qu'il pensait que ce sera le cas et que les exigences du gouvernement porteraient sur la gouvernance et la division de câbles sous-marins Sparkle du groupe, ajoutant que les prescriptions seraient "équilibrées et non punitives".

Rome s'inquiète de l'influence de Vivendi, entré en 2015 au capital de l'opérateur historique italien, dont il est désormais le premier actionnaire avec près de 24% du capital.

Crlo Calenda a précisé qu'il n'y avait aucun contact quel qu'il soit entre le gouvernement et Telecom Italia concernant une éventuelle scission de son réseau de téléphonie fixe.

Mais Rome cherche la meilleure façon de s'assurer que ce réseau soit "plus ouvert, sûr, neutre et moderne" et surveillera de près toutes transactions et éventuels conflits d'intérêt entre TIM et son principal actionnaire Vivendi, a-t-il dit.

Il a déclaré par ailleurs que le groupe de travail qui étudie la meilleur forme de coopération entre le constructeur naval Fincantieri et le français Naval Group - partenariat ou rapprochement - s'est donné six à huit mois.

(Valentina Za, Juliette Rouillon pour le service français)

Valeurs citées dans l'article : Vivendi, Telecom Italia, Mediaset