Airbus confirme qu'il a conclu un accord de principe avec le parquet national financier français, son homologue britannique, le Serious Fraud Office, et les autorités américaines à propos d'enquêtes pour pots-de-vin et corruption présumés. Ces accords restent soumis à l'approbation des tribunaux français et britanniques ainsi que des tribunaux et des autorités réglementaires américaines. Pour des raisons juridiques, Airbus ne peut faire aucun commentaire sur les détails de ses discussions avec les autorités chargées de l'enquête.

Avant cette communication, le Financial Times affirmait que l'avionneur européen était sur le point de trouver un accord afin de mettre fin à ces enquêtes et, selon des analystes, il devrait payer environ 3 milliards d'euros de pénalités.