La progression de l'action EADS (+ 3,1% à 30,2 euros) a fini par surclasser celle de Schneider Electric (+ 2,95% à 47,4 euros) en tant que plus forte hausse de l'indice CAC 40, dont la progression se limite à 0,2% en fin de matinée. Si le spécialiste des équipements électriques basse tension est porté par ses résultats semestriels, le constructeur aéronautique profite d'une étude favorable publiée ce matin par UBS : toujours acheteur, le broker a relevé son objectif de 35 à 39 euros.

'Après de soldes comptes semestriels, nous avons relevé nos prévisions d'environ 3% pour l'année en cours', indique la note de recherche. En 2012, UBS estime que le bénéfice d'exploitation ajusté devrait du groupe maintenant se situer vers 2,85 milliards d'euros, contre 2,7 milliards précédemment, chiffre qui est également la prévision fournie par le groupe.

Der plus, selon UBS, 'EADS est le plus important bénéficiaire de la faiblesse de l'euro', chaque variation d'un centime de la parité euro/dollar impactant le valorisation du titre d'un euro. Or la monnaie unique européenne tend à s'affaiblir contre le billet vert actuellement.


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