L'Internet des objets transforme d'ores et déjà les objets physiques qui nous entourent en un écosystème de périphériques connectés. Et au-delà des objets qui nous sont familiers, comme les brosses à dents, les réfrigérateurs et les thermostats, les applications industrielles commencent à gagner du terrain. Les capteurs embarqués dans les équipements, qui aident les entreprises à optimiser les chaînes d'approvisionnement, à diagnostiquer voire même anticiper une panne mécanique ou électrique ou encore à économiser de l'énergie par exemple, deviennent monnaie courante.

Aujourd'hui, nous entrapercevons un avenir qui verra l'impressionnante progression de cette connectivité.

L'Internet des objets (IoT) s'appuie à ce jour fortement sur les technologies sans fil courte portée, tels que le WiFi, Zigbee et Bluetooth. Au cours des cinq prochaines années, les technologies sans fil longue portée joueront joueront un rôle toujours plus important.

Le leader des fabricants d'équipements Ericsson prévoit que le nombre de connexions IoT de portée étendue augmentera rapidement, pour s'établir à un TCAC de 30 % sur les cinq prochaines années, contre un TCAC de 20 % pour les connections IoT de courte portée.

Toutefois, la question demeure : quelle technologie de connectivité doit être utilisée pour quoi ? Et l'offre est pléthorique ! Un écosystème immense et diversifié a créé une grande variété d'options de connectivité, de maturité différentes, générant la confusion pour les petites et grandes entreprises dont les principales préoccupations centrales sont généralement le lien entre le coût de possession et la qualité de service.

Plus récemment, une option particulière de connectivité étendue a capté l'attention du marché en utilisant les réseaux des opérateurs de téléphonie mobile - Cellular IoT (Internet des objets cellulaire). Ses principaux avantages sont que la technologie repose sur des normes interopérables et qu'elle offre des niveaux élevés de qualité de service (car elle est bâtie sur une architecture mature). Combiné avec les récentes évolutions et les normes de la technologie SIM (eSIMS), qui peuvent maintenant être intégrées et mises en service en direct, de nouvelles possibilités d'Internet des objets commencent à voir le jour.

Ericsson table sur un volume de 1,5 milliard de terminaux cellulaires connectés de type Internet des choses d'ici 2022, contre près de 400 millions d'appareils cellulaires de ce type à fin 2016. De la même manière, Machina Research, qui utilise une méthodologie différente, prévoit que les connexions cellulaires IoT passeront de 334 millions à la fin de 2015 à 2,2 milliards d'ici 2025, dont la majorité utiliseront des variantes de la LTE.

Ce nouveau livre blanc, intitulé « Internet of Things: Last Mile Connectivity Options Explained » publié par le Mobile World Live en partenariat avec CLX, explore l'écosystème des options réseau Internet des choses, en s'appuyant les observations d'analystes et les données de marché en guise d'orientation commerciale pour s'imaginer le futur de l'Internet des objets.

Vous pouvez télécharger le libre blanc gratuitement ici.

La Sté CLX Communications AB a publié ce contenu, le 15 mars 2017, et est seule responsable des informations qui y sont renfermées.
Les contenus ont été diffusés par Public non remaniés et non révisés, le17 mars 2017 10:09:01 UTC.

Document originalhttps://www.clxcommunications.com/fr/blog/2017/03/quelle-est-la-prochaine-etape-de-la-connectivite-de-linternet-des-objets/

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