La taille et les autres détails d'une injection potentielle n'ont pas pu être appris. Les analystes ont déclaré que la société pourrait avoir besoin de 9 milliards de francs suisses (9 milliards de dollars), dont une partie pourrait provenir d'investisseurs.

L'approche du Credit Suisse indique que la seule vente d'actifs pourrait être insuffisante pour couvrir les coûts d'une refonte imminente.

Un porte-parole du Credit Suisse s'est refusé à tout commentaire, réaffirmant qu'il fera le point sur la révision de sa stratégie lorsqu'il annoncera ses résultats du troisième trimestre.

Bloomberg a rapporté séparément qu'Abu Dhabi et l'Arabie Saoudite étudiaient, par le biais de leurs fonds souverains, la possibilité d'investir dans la banque d'investissement et d'autres activités du Credit Suisse.

Un investissement serait destiné à profiter des faibles valorisations, a-t-il dit. Ces fonds n'ont pas immédiatement répondu à une demande de commentaire.

Le fonds souverain du Qatar, le Qatar Investment Authority, est également l'un des plus grands investisseurs du Credit Suisse. La QIA s'est refusée à tout commentaire.

La banque doit annoncer son plan de restructuration le 27 octobre.