Le raid a également visé trois autres sites d'entreprise du groupe de télécommunications contrôlé par l'État, qui détient une part de 40 % du secteur de la fibre optique à large bande du pays, rapporte Capital.

Un porte-parole d'Orange a confirmé qu'un raid a eu lieu, sans donner plus de détails sur le moment ou l'étendue.

Le groupe a lancé des procédures juridiques pour contester les saisies de l'autorité française de la concurrence, a ajouté le porte-parole.

L'autorité antitrust française n'a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire.