KEVIN MCCARTHY, PRÉSIDENT DE LA CHAMBRE DES REPRÉSENTANTS DES ÉTATS-UNIS :

"Aujourd'hui est en effet un jour sombre pour les États-Unis d'Amérique".

"Les républicains de la Chambre des représentants demanderont des comptes sur cette utilisation effrontée du pouvoir.

DAN GOLDMAN, MEMBRE DÉMOCRATE DU CONGRÈS :

"Ce pays a été fondé sur le principe que nous sommes un gouvernement de lois, pas de personnes, et que personne, pas même un ancien président, n'est au-dessus de la loi."

"Nous avons la chance d'avoir un système juridique conçu pour défendre les droits solides de tous les accusés, et comme tout autre accusé criminel, Donald Trump a des droits constitutionnels de longue date à un procès devant jury, à la confrontation avec ses accusateurs et à l'assistance d'un avocat."

ELON MUSK, PDG de TESLA : "Il semble qu'il y ait un intérêt beaucoup plus grand à poursuivre Trump que d'autres personnes en politique. Il est très important que le système judiciaire réfute ce qui semble être une application différentielle, faute de quoi il perdra la confiance du public."

ASA HUTCHINSON, CANDIDAT À L'INVESTITURE RÉPUBLICAINE :

"Les actions de Donald Trump - de son mépris délibéré pour la Constitution à son irrespect de l'État de droit - ne devraient pas définir notre nation ou le Parti républicain. C'est un triste jour pour notre pays."

VIVEK RAMASWAMY, CANDIDAT À L'INVESTITURE RÉPUBLICAINE :

"Il serait beaucoup plus facile pour moi de gagner cette élection si Trump n'était pas dans la course, mais je défends les principes plutôt que la politique. Je m'engage à gracier Trump rapidement le 20 janvier 2025 et à rétablir l'État de droit dans notre pays."