CAC 40 : la correction n'est pas terminée.
Vers 10h30, l'indice CAC 40 reculait de 0,2% à 4102,6 points.
D'un point de vue technique, les analystes estiment que la cassure des 4110 points pourrait rapidement déboucher sur un test des 4000 points.
Ailleurs en Europe, Londres perd 1,2% et Francfort 0,7%. Du côté des indices paneuropéens, l'Euro STOXX 50 cède 0,6%.
L'euro reste fragile et s'échange autour de 1,1920 dollar tandis que le baril de pétrole brut léger américain poursuit sa décrue en abandonnant 1,2% à 49,2 dollars.
'Il y a trois grands facteurs qui pèsent sur les Bourses mondiales à l'heure actuelle', résume Nour Al-Hammoury, stratège de marché chez ADS Securities à Abu Dhabi.
'D'abord, le krach des cours pétroliers. Ensuite, le ralentissement économique global et enfin les craintes relatives à la Grèce. Tant que ces éléments restent en place, la correction n'a pas raison de s'arrêter', souligne l'analyste.
Vallourec (-3,7%) accuse la deuxième plus forte baisse de l'indice SBF 120 dans le sillage d'un abaissement de recommandation des analystes de Bernstein.
CGG (+2%) résiste après avoir annoncé un taux de production 'élevé' pour ses navires au quatrième trimestre 2014, accompagné de ventes 'records' dans son activité multi-clients.
Genfit, plus forte hausse du SBF, échappe à la baisse et gagne plus de 4% après avoir indiqué qu'une étude clinique avait conclu à l'innocuité de son traitement expérimental contre l'hépatite GFT505 sur l'activité cardiaque.
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