Shayne Elliott, PDG d'ANZ, a présenté les résultats financiers de la banque, qui, bien qu'inférieurs aux prévisions, sont perçus comme robustes grâce à une gestion efficace des coûts et à la force d'un portefeuille diversifié. En conséquence, ANZ a initié un rachat d'actions de 2 milliards de dollars australiens.

Elliott a reconnu les défis économiques liés aux hausses des taux d'intérêt, mais a souligné la résilience des clients, avec un faible pourcentage en difficulté financière. Il a mis en avant la stratégie internationale d'ANZ, notamment dans le secteur institutionnel en Asie-Pacifique, et a indiqué que la banque se concentre sur ses activités principales, se désengageant des participations moins centrales, comme la vente de sa part dans AmBank.

Face à des taux d'intérêt potentiellement élevés sur le long terme, Elliott envisage de développer les services de traitement des paiements d'ANZ et de s'adapter aux évolutions des besoins des clients, notamment en Asie où les chaînes d'approvisionnement se redéploient.

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