UnitedHealth Group a déclaré lundi que la cyberattaque subie en février par son unité technologique Change Healthcare avait entraîné la violation d'informations protégées, ce qui pourrait concerner une "proportion substantielle" d'Américains.

L'entreprise n'a pas révélé le nombre de personnes touchées par le piratage.

Elle a précisé qu'il faudrait plusieurs mois avant de disposer de suffisamment d'informations pour identifier les personnes concernées.