Les trois principales organisation (SNPL, Spaf et Alter) dénonçaient la décision de remplacer, le 2 janvier, un commandant de bord qui refusait de décoller pour des raisons de sécurité.

"Notre entreprise a reconnu que des erreurs avaient bien été commises lors du traitement de cet événement et que le remplacement d’un commandant de bord n’était ni adapté ni acceptable", lit-on dans un communiqué diffusé par le SNPL.

"Les trois organisations syndicales pilotes, SNPL, SPAF et ALTER, ont trouvé avec la compagnie Air France un accord permettant la suspension de ce préavis", peut-on également lire.

(Simon Carraud, édité par Yves Clarisse)