Air France-KLM SA a annoncé ses résultats audités pour le quatrième trimestre et l'exercice clos le 31 décembre 2017. Pour le trimestre, la compagnie a réalisé un chiffre d'affaires de 6 235 millions contre 6 087 millions il y a un an. Les ventes ont été de 6 233 millions contre 6 086 millions il y a un an. L'EBITDAR a été de 855 millions contre 846 millions il y a un an. L'EBITDA s'est élevé à 594 millions contre 571 millions l'année précédente. Le résultat des opérations courantes est de 113 millions contre 94 millions l'année dernière. La perte des activités d'exploitation a été de 1 487 millions contre un revenu de 252 millions il y a un an. La perte avant impôts est de 1 496 millions contre 235 millions l'année précédente. La perte nette des sociétés consolidées est de 985 millions contre un revenu de 107 millions l'année précédente. La perte des activités poursuivies a été de 980 millions contre un revenu de 97 millions l'année précédente. La perte nette pour la période s'est élevée à 980 millions contre un revenu de 353 millions l'année précédente. La perte nette du groupe pour la période s'élève à 977 millions contre un revenu de 362 millions l'année précédente. Le flux de trésorerie net provenant des activités d'exploitation, activités poursuivies, s'élève à 411 millions contre 499 millions l'année précédente. Les investissements en immobilisations corporelles et incorporelles se sont élevés à 543 millions contre 477 millions l'année précédente. Le cash-flow libre opérationnel a été négatif de 97 millions contre 97 millions l'année précédente. Pour l'année, la société a déclaré des ventes de 25 781 millions contre 24 844 millions il y a un an. Les revenus ont été de 25 784 millions contre 24 846 millions il y a un an. L'EBITDAR était de 4 352 millions contre 3 787 millions l'année précédente. L'EBITDA est de 3 264 millions contre 2 714 millions l'année précédente. Le résultat des opérations courantes est de 1 488 millions contre 1 049 millions il y a un an. La perte des activités d'exploitation a été de 419 millions contre un revenu de 1 116 millions il y a un an. La perte avant impôt est de 517 millions contre un revenu de 823 millions l'année précédente. La perte nette des sociétés consolidées est de 288 millions contre un revenu de 529 millions l'année précédente. La perte des activités poursuivies a été de 267 millions contre un revenu de 522 millions l'année précédente. La perte nette pour la période s'est élevée à 275 millions contre un revenu de 792 millions l'année précédente. La perte nette pour la période et le groupe s'élève à 274 millions contre un revenu de 792 millions l'année précédente. Le flux de trésorerie net provenant des activités d'exploitation s'est élevé à 2 898 millions contre 2 239 millions l'année précédente. Les achats d'immobilisations corporelles et incorporelles se sont élevés à 2 312 millions contre 2 072 millions un an plus tôt. La dette nette au 31 décembre 2017 était de 1 657 millions. La dette nette ajustée au 31 décembre 2017 était de 9 273 millions contre 11 166 millions au 31 décembre 2016. Le cash-flow libre opérationnel est de 696 millions contre 347 millions il y a un an. Pour le trimestre, la compagnie a déclaré des passagers transportés de 23 665 000. La capacité (EASK) était de 85 951 millions contre 83 575 millions il y a un an. Pour l'année, la compagnie a déclaré 98 721 000 passagers transportés. La capacité (EASK) était de 351 695 millions contre 341 334 millions il y a un an. Pour le premier trimestre 2018, la croissance des recettes unitaires devrait être positive à taux de change constant par rapport à l'année dernière. Pour l'ensemble de l'année 2018, la compagnie prévoit d'augmenter la capacité de 3 à 4% en sièges-kilomètres disponibles pour le réseau passagers et de 6 à 7% pour Transavia. La facture de carburant pour l'ensemble de l'année 2018 devrait augmenter de 150 millions par rapport à 2017 pour atteindre 4,7 milliards. Le groupe vise un flux de trésorerie disponible positif (avant acquisitions et cessions) pour l'ensemble de l'année 2018. La compagnie continuera à gérer ses CapEx afin de renforcer le bilan du groupe et elle gérera entre l'objectif à long terme que la compagnie a indiqué il y a quelques années déjà entre 2 milliards et 2,5 milliards d'euros.