"Nous avons déjà arrêté", a-t-il déclaré, précisant que le groupe achetait auparavant environ 80.000 barils de brut iranien chaque jour.

S'exprimant lors du Forum économique mondial de Davos, Christophe de Margerie a redit qu'il s'opposait à ces sanctions, ajoutant que le pétrole allait partir ailleurs. "L'Iran pourra accorder des remises pour rendre cela plus facile et plus rapide, mais rien ne changera."

Dmitri Jdannikov, Nicolas Delame pour le service français, édité par Danielle Rouquié